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experimentations animales, élevage...

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eva


Invité

Expérimentation animale
Quelques coups de gueule perso
Dans le domaine de l’éducation

 Est-ce vraiment utile de tuer des animaux pour des élèves du collège et du lycée pour qui ces sacrifices ne serviront strictement à rien pour la vie future de la très grande majorité d’entre eux? (Même a ceux a qui ca pourrait servir(et encore) ne peuvent-ils pas attendre de se spécialiser et de donner au moins une utilité à leur crime ?
 Ne serait ce pas suffisant de montrer aux élèves un film de dissection animale pour qu’ils puissent observer la structure interne des animaux? (ou à la limite ne pourrait-on pas sacrifier seulement un animal par classe?!)
 Cela permettrait d’épargner des milliers d’animaux d’une vie de souffrance et d’une mort complètement inutile!
 les animaux de labo sont enfermés et concentrés dans des espaces à peine suffisant à leur survie, transportés, entassés sans précaution vers les établissements…



articles internet
Dans le domaine de la recherche
Chaque minute, 5 animaux meurent dans les laboratoires français.

Dans le monde, ce sont vingt-cinq animaux qui meurent chaque seconde !

Presque tous les produits que nous utilisons ont été testés sur les animaux. Produits ménagers, cosmétiques, produits chimiques, pesticides, appareils médicaux...

Pour cela, des animaux sont emprisonnés pendant des années dans des cages de métal, contraints de supporter ingestions forcées, produits irritants sur la peau ou les yeux (test de Draize), mutilations, irradiations, contaminations...

Pourtant, les différences physiologiques d’une espèce à une autre rendent ces expériences peu fiables. Les nouvelles méthodes de recherche dites « alternatives » sont à la fois plus précises, moins coûteuses et n’infligent pas de souffrance.

Mais les habitudes ont la vie dure et de nombreux chercheurs rechignent à passer à ces méthodes plus modernes et plus performantes. Les expériences sur les animaux sont un frein au progrès et continuent, année après année, à faire des victimes tant humaines qu’animales.

 Il est pourtant écrit dans le code pénal que : "...Sont licites les expériences ou recherches pratiquées sur des animaux vivants à condition qu'elles revêtent un caractère de nécessité et que ne puissent utilement y être substituées d'autres méthodes expérimentales… »

Les différences physiologiques entre rats, lapins, chiens, cochons et humains sont énormes. Un exemple ? Prenons le cas du fluorure... Administré à des souris et à des rats, il n’entraîne aucun effet chez les premières, mais provoque des cancers chez les seconds. S’il est impossible d’étendre aux rats les conclusions obtenues pour les souris, comment pourrait-on les transposer à l’homme ?

L’expérimentation animale fait aussi des victimes humaines. Des médicaments tels la Thalidomide, le Zomax et le Distilbène, qui avaient pourtant été déclarés sans risque au vu des tests sur les animaux, ont eu des effets catastrophiques chez les personnes qui les ont utilisés.

Selon un rapport officiel américain, plus de la moitié des médicaments agréés entre 1976 et 1985 ont entraîné des effets secondaires suffisamment graves pour que ces médicaments soient retirés du marché ou qu’ils changent de nom. Pourtant, tous avaient été testés sur des animaux.

L’expérimentation animale conduit parfois les chercheurs sur de mauvaises pistes. L’inventeur du vaccin oral contre la polio, Docteur Albert Sabin, en témoigne : « La poliomyélite paralytique ne pouvait être traitée qu’en empêchant la destruction irréversible des cellules nerveuses motrices. Mais les travaux de prévention ont été retardés car les déductions faites à partir des modèles expérimentaux chez le singe ont donné une fausse idée de la forme humaine de la maladie. »

« Le modèle animal est obsolète », affirment de nombreux comités scientifiques, comme Antidote Europe en France ou PCRM (Physicians Committee for Responsible Medicine) aux États-unis.

Il n’est cependant pas surprenant que ceux qui martyrisent les animaux dans les laboratoires ou qui fournissent cages, appareils de contention ou matériel pour mettre à mort ceux qui sont devenus « inutiles », soutiennent l’idée qu’on lui doit l’essentiel des progrès de la médecine : c’est leur gagne-pain !


Programme de tests des produits chimiques dans l’Union européenne
La nouvelle politique européenne en matière de produits chimiques pourrait bien faire mourir des millions d’animaux dans d’atroces souffrances : dans le but de collecter des informations sur la toxicité de produits chimiques, des milliers de substances pourtant bien déjà connues vont subir une batterie de tests dépassés et peu fiables.

OCDE
PETA a ouvert le dialogue avec l’OCDE au sujet de son programme sur l’harmonisation des exigences en matière de tests.

L’OCDE, qui a contribué à faire accepter au niveau international des méthodes de test aussi cruelles que le test de Draize ou le test DL50, détient aussi le pouvoir de faire adopter des tests ne s’appuyant pas sur le modèle animal.

PETA s’est donc récemment associée à des associations de protection animale aux États-Unis, au Canada, en Europe et au Japon pour former un Conseil international pour la protection des animaux (ICAPO). Notre objectif est de jouer au sein de l’OCDE un rôle équivalent à celui des représentants des industriels et de la protection de l’environnement.
Tests cosmétiques
Pour les tests cosmétiques, la France sacrifie, à elle seule, plus d'animaux que tous les autres pays de l'Union européenne réunis. C’est dire les intérêts en jeu.

On comprend dès lors pourquoi la France refuse obstinément de se plier à la directive européenne qui interdit la vente de cosmétiques dont les ingrédients ont été testés sur des animaux, au point d’avoir introduit un recours, qui doit être examiné par la Cour de Justice européenne en 2005.

Et pourtant, 64 % des Français sont défavorables à l'expérimentation sur des animaux ! (sondage Ipsos/One Voice réalisé début 2003)
site petafrance

voir site naturavox

--> utiliser les méthodes alternatives au max
--> ne pas faire souffrir (il existe des moyens d'éviter la douleur même si ca coute un peu plus cher!!)





l'elevage
Quelques pistes de solutions pour améliorer l'état actuel de l'élevage… à débattre
Alternatives à l’assassinat très précoce des animaux d’élevage
 Insémination artificielle avec sexage (tri des embryons femelles) pour éviter de tuer de jeunes veaux, agneaux et chevreaux
 Allonger la durée de vie (avant d'être réformé) des animaux des productions laitières
 Sauter des gestations en maintenant la lactation? Recherche sur les molécules de stimulation de la lactation
 Élever les poussins mâles des poules pondeuses au moins jusqu'à l’age adulte et non pas les broyer vivants (ou gazer) dès qu'ils naissent comme c'est le cas aujourd'hui...
 Végétalisme…

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